Depuis le vendredi 10 juillet, la mutilation des organes génitaux des femmes est désormais considérée comme un crime au Soudan et est passible d’une peine pouvant aller jusqu’a trois ans de prison. Le conseil souverain, l’instance du pouvoir au pays formée de civils, dont des femmes et des militaires, a criminalisé cette pratique « qui porte attentent à la dignité des femmes », selon un communiqué du ministère de la Justice. Cette loi autorise également la fermeture par les autorités des cliniques ou des lieux pratiquant l’excision. Cette annonce intervient plus d’un an après la chute, en avril 2019, du régime d’Omar Al-Bachi, sous la pression d’une révolte populaire. Selon l’UNICEF, l’élimination des mutilations génitales est une étape essentielle en vue de promouvoir l’égalité des droits femmes-hommes dans le pays.
Source : RFI, Le Monde, France 24
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